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À vous la parole (42 commentaires)
« Merci frère Michel.
RépondrePour nourriture nous avons la Parole, nous avons le loisir de lire et relire,
de méditer et de prier, de contempler aussi.
Se recentrer sur l'essentiel, mettre le superflu de côté... »
monette - 03 avril 2020 - 0:06
« Très beau commentaire ci-dessous de Marie-Jeanne. Il y en a d'autres des comme ça, tous plus touchants les uns que les autres.
RépondreJ'aime aussi le témoignage du jour, de Françoise et Frédérique, qui commence par : "Faire mémoire", en parlant de l'épidémie actuelle. Oui que nos pensées, et bien sûr nos prières, se tournent vers toutes les victimes du Coronavirus. Et exprimons notre sympathie et notre profonde reconnaissance pour tous les intervenants dans les hôpitaux qui luttent contre ce fléau.
Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur : "La boule de manioc...", il suffit de taper le proverbe dans la recherche du Web. Vous trouverez alors trace du livre de Frère Michel Lachenaud (notre guide spirituel du jour) : "Révélations africaines".
»
Gilou - 02 avril 2020 - 23:13
« oui ... Bien ... Faire mémoire... Agir avec le coeur... merci »
Répondreclaudemarie - 02 avril 2020 - 22:55
« Merci Frère Michel pour nous avoir fait voyager avec les paysages et images colorées accompagnant vos méditations. Vous nous avez aussi parlé de l'Afrique que vous connaissez. On lit que la pandémie a gagné ce continent. Nous pleurons et déplorons nos morts dûs à cette épidémie mais nous avons néanmoins des moyens pour lutter que l'Afrique n'a pas. L'eau a été un thème de vos méditations ; nous l'utilisons abondamment puisqu'il est recommandé de se laver les mains très souvent. Et mon cœur se serre en pensant à cette eau parfois si rare dans certaines contrées africaines ; encore plus précieuse quand il s'agit d'un "geste barrière". Que Dieu ou leurs dieux viennent en aide à nos frères africains. »
Répondremahona - 02 avril 2020 - 22:52
« Seigneur Jésus, toi qui nous aimes, qui as donné ta vie pour nous, gratuitement, sans rien attendre en retour, tout simplement par amour.
RépondreTu nous as dit : ma vie nul ne la prends, mais c'est moi qui la donne".
Tu aimes les coeurs simples et généreux qui savent partager, qui donnent sans rien attendre en retour.
Renversé, chamboulé, Paul a vécu pleinement de ta vie dans l'amour jusqu'au don total de sa vie.
Merci cher frère Michel pour votre si belle, si fraternelle méditation.
Qu'il est beau ce proverbe : la boule de manioc n'est jamais trop petite pour être partagée. Il en est de même pour le pain. Souvenons-nous de la multiplication des pains; tout le monde a mangé à sa faim..
Mais, nous, nous ne sommes pas Jésus, il ne suffit pas de lever les yeux au ciel, mais d'être bien campés sur nos deux pieds et le morceau que nous avons n'est pas non plus jamais assez petit pour être partagé.
Je suis arrière grand mère, j'ai connu les privations pendant la guerre, surtout chez les pauvres, nous avions si peut pour vivre, mais il y avait toujours assez pour partager...
Oui, Françoise, Frédérique, nous sommes privés du Pain de Vie, mais nous avons sa Parole qui nous invite au Festin, "Venez les bénis de mon Père".
Merci à tous pour vos commentaires Union de prière.
»
Marie Jeanne - 02 avril 2020 - 19:07
« Quelle parodie de voir que l'on continue avec les ordinateurs... et que la terre souffre. Quelle parodie de croire dans le partage et qu'il faut cultiver la terre pour vivre. Nous n'avons rien fait pour la protéger et nous sommes partis dans le capitalisme et l'égoisme. Ce matin je suis allée à la pharmacie. Un infirmier venait chercher des masques. On lui avait dit qu'ils étaient là. Mais pas de masques et pénurie de doliprane. Dehors j'étouffais et les yeux me brulaient. Un air soufré est asphyxiant.
RépondreJe suis revenue chez moi en pleurant, en hurlant !
L'humain a détruit cette terre. Si je meurs demain j'aurai au moins appris l'idiotie de ce monde. On a détruit cette terre. La technologie est dans nos mains. Nos mains brulantes et vous ne sentez pas la brulure ??? Quand tout sera détruit, vous ne serez plus là pour dire que le seigneur est en colère et qu'il faut partager et cultiver la terre. Il sera trop tard. Il est déjà trop tard. Je ne vois aucune prise de conscience alors que je crie la douleur et la colère que nous allons mourir les uns après les autres.
Oui il restera l'eau, le ciel, les fleurs, les animaux. J'espère que plus aucun homme ne pourra y vivre. La folie a dépassé l'amour de soi et de ce qui nous entoure.
Je pose mon ordi. 5 minutes pour pleurer. 5 minutes pour dire stop. Une goutte dans l'océan. Je prie.
FIN
»
christine - 02 avril 2020 - 18:14
« La pauvreté et la guerre ne sont pas loin.
Pauvre monde !!! »
christine - 02 avril 2020 - 20:33
« Ce temps de confinement et la fermeture des églises, condamnant les prêtres à célébrer seuls, ce qui en droit canon, est totalement anormal et exceptionnel, m'amène à la réflexion suivante : les fidèles ne sont rien sans le prêtre mais un prêtre sans fidèles n'est rien. Les prêtres de paroisse feraient bien de s'en souvenir, lorsqu'une de leurs brebis abandonne l'assemblée dominicale à cause d'une action ou d'une abstention de membres de la paroisse et / ou du prêtre. Est ce qu'un père de famille n'irait pas à la recherche de l'enfant absent du repas de famille dominical ou de la fête de famille ? Qu'est ce qu'une fête de famille où tous les enfants qui le peuvent ne sont pas présents, parce qu'ils sont brouillés avec tel ou tel ou avec les parents ? Et si cela peut exister dans la famille humaine, cette situation n'est-elle pas intolérable dans l'Eglise ? Le pain est fait pour être partagé entre tous sans exclusion. Il n'a de goût que s'il est partagé. Je comprends mieux, avec cette fermeture des églises, ce que veut dire : pierres vivantes. Enlevez une à une des pierres à un édifice il finira par s'écrouler. Tandis que quelques pierres pourries, on pourra toujours les remplacer. On se lamente sur l'absence de prêtres. Et l'absence des fidèles est-ce qu'on y pense ? Ce sont eux qui remplissent l'église et font des assemblées fidèles, et joyeuses et vivantes.
RépondrePensées cordiales pour Audrey. »
Lorette - 02 avril 2020 - 13:35
« Je pense, Lorette, que j'ai alors de la chance d'avoir eu durant des années, un prêtre pour mon accompagnement spirituel, la distance kilométrique nous sépare, mais il s'est déplacé pour me revoir.
Pendant le confinement, en faisant oraison, il a encore pensé que m'envoyer la 'Lettre de liaison" avec ses paroissiens (par mail) ferait que je me sente aussi en union et moins seule.
Je trouve cela très généreux, même si cela devrait être normal pour n'importe quel prêtre. Se sentir en union, c'est un réel soutien pour moi, j'en ai besoin pour nourrir ma foi.
Tout comme ce site Carême dans la ville d'ailleurs je remercie vivement les frères dominicains pour tout leur travail, sans lequel je me sentirais bien isolée.
Fraternellement, et en union . »
monette - 02 avril 2020 - 18:24
« Je pense, Monette, que la situation aujourd'hui n'est plus la même que celle dont vous avez pu bénéficier. Même s'il y a eu quelques "fonctionnaires de Dieu", selon l'expression de Drewerman, la plupart étaient peu ou prou au service de leurs paroissiens. Mais ce n'était pas vraiment mon propos. Pour être encore plus claire je visais les situations scandaleuses dans l'église où des "fidèles" se voient rejetés parce qu'ils n'ont pas l'heur de plaire au prêtre ou au "klu klux clan" qui l'entoure, j'allais dire : l'enserre... Vous en avez des exemples sur ce lieu d'échange et beaucoup n'osent rien dire. Mais cela n'est pas nouveau et existait déjà du temps de Jésus et lui-même dans l'évangile de St Jean le décrit parfaitement. Je ne parle pas de la relation privilégiée entre un accompagnateur spirituel et celui ou celle qu'il accompagne. Cette relation a existé de tous temps, du moins depuis très longtemps. Mais ceci dit pour en revenir aux paroisses, Il ne faut pas nier l'évidence parce que soi-même on n'a pas vécu cette situation. Le pape François lui-même ne cesse d'aller en guerre contre ces comportements indignes. Guerres intestines, luttes pour le pouvoir dans l'église, mise de côté des gêneurs au lieu de les écouter, autoritarisme du clergé, tout cela est vrai et en a fait souffrir plus d'un. Et je ne vise pas les scandales actuels, qui sont encore autre chose.
Pour faire simple, comme disait quelqu'un que j'aimais beaucoup :"la Vérité, le bon Dieu l'aime". Bonne soirée. »
Lorette - 02 avril 2020 - 19:00
« Je pense aussi, mais je peux me tromper, que ce problème qui est redevenu d'une actualité criante, pourrait être dû à la conjonction entre la place de plus grande des fidèles dans l'église-et c'est une excellente chose-, et le fait pour les prêtres de manquer de plus en plus de temps. Excédés. bousculés, énervés. ils s'en remettent pour les affaires courantes à leurs "délégués" sans trop de discernement ou du moins en fermant les yeux pour avoir la paix. Mais l'Eglise n'est pas une administration. Elle est composée de pierres vivantes et chacune d'elles est unique aux yeux de Dieu. Il est possible que dans les campagnes ou les petites paroisses le problème soit moins prégnant. Comme vous l'aurez remarqué je ne parlais pas des communautés religieuses mais des prêtres de paroisse. Mais comme vous le dites bien justement il y a aussi de saints prêtres. Il y a même des saints tout court, notre vraie famille et la seule richesse de l'Eglise et c'est grâce à eux (qui avaient aussi leurs défauts) que nous continuons notre petit bonhomme de chemin en remerciant Dieu.
Merci Monette pour cet échange. Fraternellement.
»
Lorette - 02 avril 2020 - 19:57
« Oui, on se met trop rarement à la place de celui à qui l'on donne. Elle n'est pas toujours facile. Elle dit tout ce que l'on a perdu, tout ce qu'on ne peut plus faire et qui pourtant, il y a quelques semaines seulement paraissait si facile, si évident. C'est d'autant plus marquant peut-être ces jours ci à l'hôpital où, toutes visites interdites, nous nous retrouvons seuls avec les soignants et où des liens particuliers se créent entre soignants et soignés. Comment leur dire assez merci quand on a que ses mains vides ? Et c'est du fond du cœur que je voudrais le faire. Ils, elles, donnent tant, et pas seulement dans les ailes dédiées au virus. C'est tout l'hôpital qui en est impacté. Et pas seulement au niveau des soins. Ce sont aussi ces petits services, ces petites attentions, qui créent tous ces liens humains, si précieux.
RépondreCes soignants, dans mon service d'oncologie, disent aussi leur bonheur à pouvoir le faire. Que dire alors, sinon prier que la petite boule de manioc ait toujours cette saveur !
Merci fr Michel ! Merci à tous ! »
Audrey - 02 avril 2020 - 13:16
« Merci Audrey pour ces propos bouleversants de vérité et d'humilité. »
Lorette - 02 avril 2020 - 16:53
« Merci ma chère Audrey pour ton témoignage. Qu'elle est belle cette générosité, cette disponibilité au service des malades. Ce n'est pas seulement un travail, mais un don gratuit, spontané qui vient des "tripes"! il faut beaucoup d'amour pour faire ce travail. Un véritable sacerdoce. Ces personnes vivent
les béatitudes.J'étais malade et vous m'avais visité..
Garde toujours la 'B' Attitude, chère petite soeur.
Je t'embrasse,
Marie Jeanne »
Marie Jeanne - 02 avril 2020 - 17:13
« Contente de vous lire Audrey. Même hospitalisée, même dépendante, même privée des mains pour donner, on peut toujours offrir un sourire, un visage, une parole aimables. Cela n'est pas toujours possible quand les soins ou la douleur sont trop présents et tous les patients ne le font pas. Le personnel médical est confronté à beaucoup de cas de figures : il est sensible à ces marques d'attention. Cela humanise un peu ces séjours forcés en milieu hospitalier. »
mahona - 02 avril 2020 - 18:34
« Merci Audrey ,
ainsi , je puis tout par celui qui me fortifie prends tout son sens .
Nous avons tous besoins des uns des autres .
Pour ce qui est du Pain , puisque nous sommes le corps du Christ
n'a t'il pas dit ;je ne vous laisserai pas orphelins ...
Dans ce qui se passe actuellement , on peut se souvenir des vrais
adorateurs de Dieu , en Esprit et en vérité .
Puisque l'église reste un lien d'amour , quel que soient "nos expériences ,
elles sont une église en marche , au dehors et au dedans .
Qui se renouvelle sans cesse en se lavant les pieds les uns et des autres
c'est Jésus qui met le parfum de sa Paix profonde .
Ce n'est pas pour rien que l'on parle de réconciliation , ailleurs on lapide
encore , merci fr Michel , et Françoise , oui on peut faire beaucoup tout en restant à la maison , c'est dire : aujourd'hui Le Salut est arrivé pour cette maison ... Jésus au milieu de nous .Le langage de la croix , je le sais maintenant reste folie ... »
fred - 02 avril 2020 - 18:42
« Merci Audrey pour ce beau partage, je t'embrasse, kat »
Kat - 02 avril 2020 - 21:45
« La boule de manioc que l'on partage me ramène à l' évangile de la veuve qui donne 2 piécettes, sa seule richesse, au Temple. Générosité gratuite envers le Dieu qu'elle vénère. Elle s'est privée de l'essentiel sans attendre en retour sinon être aimée par Dieu. Dans cette période de confinement obligé, on s'aperçoit des "manques" : de compagnie, de la famille, de sorties, de visites, des célébrations eucharistiques. C'est lorsque cela manque que l'on s'aperçoit de la valeur des êtres et des choses. Hier, il était question de temps : on peut donner du temps, gratuitement, généreusement en écoutant quelqu'un qui a besoin de parler au lieu de se plonger dans la lecture envisagée. Donner du temps à la lecture instructive ; à la réflexion sur l'après confinement, car il finira. Allons-nous retomber dans nos habitudes ou changer ce qui peut ( ou doit) l'être que ce soit à titre personnel ou sociétal ? S'il y a une leçon que l'on peut retirer de cette période c'est de ne pas trop utiliser le "j'ai pas le temps" et de savoir profiter du moment présent pour faire, exprimer ce que l'on refoule. Même en restant chez soi, on peut donner et recevoir. Profitons-en. »
Répondremahona - 02 avril 2020 - 11:46
« Personnellement je n'avais pas besoin de cela pour me rendre compte de ce que j'avais. Je dirais même que je n'avais pas besoin de cela en plus de tout le reste!!! »
IG - 02 avril 2020 - 13:07
« Merci pour ce rappel, Frère Michel. Recevoir est plus fort que donner !
RépondreDans ce dur moment que nous traversons tous, admirons ceux qui donnent tout, jusqu'à leur vie pour soigner, ou pour aider les plus petits d'entre nous. Je regrette de ne pouvoir donner de mon temps. Confinée et âgée de 69 ans (ce n'est certes pas un grand âge), je n'ai pas trouvé comment proposer mes services… peut-être quelqu'un pourrait me donner une idée ?
Je vous souhaite à toutes et à tous une belle journée et un bon carême.
Danielle »
Danielle - 02 avril 2020 - 10:44
« Frère Michel, j'aime bien votre phrase : "La vie n’est pas faite pour être gardée, mais pour être donnée, partagée avec les autres."
RépondrePrendre la tenue de service pour les autres au lieu de rester égoïstement dans son coin et, finalement, ne pas être satisfait.
Avec ce confinement, nous voyons des expériences de solidarité, d'entraide, de soutien, de soucis et de présence aux autres. Que ce soit par des croyants (quelle que soit leur religion) ou des non-croyants (qui en fait croient quand même à quelque chose).
Ils ont pris la tenue de service sans le savoir et c'est beau.
Mais ce serait encore plus beau que tout cela continue APRÈS.
Prions pour que le Seigneur les inspire de ne pas retourner égoïstement à leur vie d'avant. »
Jean-Marie - 02 avril 2020 - 9:43
« Nous sommes tous dan le même bateau!
Prions pour que le Seigneur NOUS inspire de ne pas retourner égoïstement à NOTRE.vie d'avant »
graziella - 02 avril 2020 - 16:28
« Ce n'est pas de moi :Quand tu donnes une paire de chaussures à un pauvre,ne lui dit pas que tu la lui donnes mais que tu la lui rends.
Répondrepour moi ça résume assez bien que la justice est le fondement du don. »
Rocoplan bernard - 02 avril 2020 - 9:18
« C'est ce que disait St Jean Chrysostome dit "bouche d'or". "Votre argent c'est celui des pauvres". Quand il m'arrive de faire l'aumône comme chacun de nous j'ai cette phrase gravée en mémoire ça m'évite de me sentir généreuse... »
Lorette - 02 avril 2020 - 10:54
« Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, en cette période difficile d'épidémie bien des personnes donnent de leur temps de leur énergie... Qu'auront ils en retour... Oui donner sans compter...
RépondreAMEN 🙏 »
Ninine - 02 avril 2020 - 9:03
« Jésus, compagnon d'humanité
RépondreAuteur : Jacques Lavielot
Jésus, compagnon d'humanité
J'aime à Te donner ce nom !
Toi, Jésus Christ, un jour du temps,
Tu es entré par la porte de derrière,
non pas par la porte d'entrée grande et solennelle,
mais par la petite porte, sans bruit,
sans déranger personne.
Tu as frappé à la porte de la salle commune !
Tu es même resté dehors,
il n'y avait pas de place pour Toi.
Pour Te faire compagnon d'humanité,
Tu T'es fait pauvre et discret !
De la même manière, au temps de Ta vie publique,
Tu as été mis à la porte et crucifié à la porte de la cité,
jusqu'au jour où la pierre a été roulée,
par l'Amour puissant du Père.
Ce matin-là, Tu es sorti,
avec la même discrétion, victorieux !
Jésus, compagnon d'humanité,
Tu es déconcertant de discrétion !
»
Partage - 02 avril 2020 - 8:42
« Nous sommes envoyés pour vivre une solidarité entre tout les hommes , Dieu nous met à l epreuve avec cette pandémie pour que nous revenions à lui »
RépondreTed87 - 02 avril 2020 - 8:36
« Notre propre vie devient évangile vivant! C'est bien dit.
Répondre... Et le partage, c'est vrai! Actuellement je suis seule à la maison, car veuve. Et quand je prépare mes repas, je souffre de ne pas pouvoir les partager, car chaque semaine, j'invite quelqu'un, un de mes petits-enfants, un réfugié du Bénin ou une amie.... Et parfois je suis invitée par mes enfants.
Actuellement je couds pour les petits et je prie pour chacune de mes relations, que le Seigneur les bénisse. Je prends part à la souffrance de ceux qui souffrent. Oui, nous sommes créés par amour et ne sommes heureux qu'en aimant à notre tour. Le Seigneur a fait pour nous des merveilles.
Catherine »
Catherine - 02 avril 2020 - 8:25
« "La vie n’est pas faite pour être gardée, mais pour être donnée, partagée avec les autres."
RépondreOui, enfin attention à la façon dont vous la partagez car vous pourriez bien finir diviser... »
Patricia - 02 avril 2020 - 8:16
« "Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir."
RépondreCombien de fois nous est-elle servie cette phrase, comme une vérité en tout temps et en tout lieu?
Et bien moi je vous dis: quand vous êtes vraiment au bout du rouleau vous apprenez que la joie est dans le laisser faire et le recevoir, sans avoir plus rien à donner, sans ne pouvoir plus rien donner.
Quand vous êtes complètement dépendant, vous apprenez que la joie est dans ce qui est donné et pas dans ce que vous faites ou pouvez faire, ou donner.
Ainsi vous apprenez qu'il n'y a pas plus de bonheur à donner qu'à recevoir, mais AUTANT de bonheur à recevoir qu'à donner.
Évidemment je ne suis pas le Christ, je ne m'appelle pas Francois, je ne suis ni Sainte, ni prêtre, ni pape, donc vous pouvez balayer ce que je vous dis d'un revers de mains et continuer de vénérer St François et ses maximes sorties de leur contexte et de leur époque.
A force de confiner, on finit parfois bête, bêtement. Il existe des confinements spirituels même sans confinement "physique", entre 4 murs. »
L. - 02 avril 2020 - 7:44
« De plus tu ne peux rien donner que tu n'es reçu avant. »
L. - 02 avril 2020 - 7:51
« Apprendre à recevoir des autres quand on ne peut plus donner, apprendre à recevoir d'un autre, des autres, de Dieu, ce que l'on donne,
Ca remet les puissants à leur place et developpe l'humilité. Ca me (re)donne ma place. »
L. - 02 avril 2020 - 7:58
« Superbe »
Veronique - 02 avril 2020 - 8:00
« Merci de nous apprendre la juste place, de nous rappeller que chacun est ancré dans une réalité de vie . Que la Bonne Nouvelle est pour tous, chacune , chacun, là où il en est de sa vie. "Là où nous sommes", "ce que nous vivons", c'est là que se pose la lumière . »
Mimi - 02 avril 2020 - 10:51
« Bien sûr que oui, L, vous avez beaucoup à donner, vous venez de donner, beaucoup.
Votre témoignage est leçon d’humilité. Vous nous ouvrez les yeux sur ce que peut être la réalité, le quotidien, la désespérance des personnes en grande souffrance. Vous témoignez du bonheur de recevoir et de la gratitude que vous avez envers ceux qui donnent, qui partage.
N’est-ce pas aussi ce que vous faites par votre témoignage ?
Merci de remettre les pendules à l’heure. Que le Seigneur vous protège. »
T.....g - 02 avril 2020 - 11:50
« Il faut beaucoup d'humilité pour témoigner comme vous le faites ! .... Je retiens : "Il y a autant de bonheur à recevoir qu'à donner " ....Eh oui ! si une fois, une SEULE , nous nous mettions à la place de celui qui reçoit, qui attend de l'aide, notre vision du Don, bien évidemment, changerait ..... "Savoir donner, sans rien attendre en retour " .... Simplement parce que c'est NORMAL, quand un frère est dépourvu ! .... mais voilà, nous vivons dans ce monde artificiel qui attire nos regards ....et nous passons, trop souvent, aveugles et sourds, indifférent à celui qui tend la main !
Merci "L" de nous ouvrir les yeux et les oreilles .... Oui, vous avez raison, Il y a de la Joie à donner et tellement à recevoir..... quand on attend un geste, un regard de l'autre . Dorénavant, nous devrons y réfléchir .... très longtemps, pas seulement aujourd'hui !.. Ne laissons pas l'oubli tout balayer....Chacun de nous peut apporter sa pierre ..... nous avons TOUS quelque chose à donner et à recevoir !
Merci à Françoise et Frédérique : Nos messes télévisées sont belles , mais nous sommes aussi en "Carême" quand, rien ne peut remplacer l'Eucharistie.....La phrase de l'évangile qui me parle aujourd'hui : "Je suis venu Chercher et Sauver ce qui était perdu " ! Tout est dit !!!
Bonne journée.
J.C
»
J.C - 02 avril 2020 - 17:20
« Pour ne pas focaliser sur une phrase (et éviter de provoquer des désespérances), voici son contexte :
« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »
Prière de Saint François
... dans cette version, il est effectivement écrit "se donnant", mais dans d'autres, il est écrit "en donnant". La différence est importante.
Peut-être qu'un spécialiste parmi nos frères dominicains pourrait nous éclairer ? »
Vincent59 - 03 avril 2020 - 7:59
« Merci Frère Michel. Merci pour cette belle méditation. Notre individualisme nous a amené aujourd'hui à la frayeur. Comment on vit, comment on a vécu. Comment on va vivre demain. Et bien oui dans le partage. Et le retour à la terre. La cultiver. La respecter. On parle de pénurie alimentaire. Bien sur des années de silence, d'interdits ou l'argent, la technologie a fait oublier l'essentiel. La terre. Et l'amour. On a aimé que soi. On a regardé que soi. J'ai honte.
RépondreCette petite fille nous donne une leçon. L'image me porte au cœur. L'image de demain. L
»
christine - 02 avril 2020 - 7:37
« J'ai posté mon message trop vite. Je ne sais plus quoi dire. Larmes d'un monde détruit et qu'il va falloir reconstruire ensemble.
Bonne journée à toutes et tous. »
christine - 02 avril 2020 - 7:40
« « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir» : que ce principe est vrai !
RépondreSaint François l’a repris dans sa magnifique prière : « … car c’est en donnant qu’on reçoit … ».
Et cela va de pair avec l’encombrement de biens matériels dont nous souffrons tous.
Il nous faut donner les biens que nous ne pourrons pas emporter avec nous à notre mort.
Vivre par le Christ pour les autres, saint Paul fait mémoire de sa vocation.
Peu importe les contingences matérielles du moment, peu importe d’être reclus au fond d’une prison ou de son logement. IL ne nous abandonnera pas, même si le sacrement de l’Eucharistie est interrompu.
Faisons mémoire de lui en gardant l’Espérance !
Oh, « Dieu caché dans ce divin Sacrement », vient à notre secours !
Mais dès maintenant, saisissons toute opportunité d’aider les autres.
Par la prière, en additionnant tous nos confinements.
En agissant : un simple coup de fil à une personne isolée, à une connaissance qui n’a pas le moral, en rejoignant pour le meilleur les réseaux sociaux.
En apportant notre soutien aux « gens en première ligne », car ce combat est contre le Diable.
Controns-le en redécouvrant les autres ainsi que le véritable but de notre vie.
A ceux qui disent « gagner de l’argent », je réponds « vous mettez la charrue avant les bœufs ».
Comme Elisée avant son appel par le prophète Elie. Redressons-nous !
»
Vincent59 - 02 avril 2020 - 7:20
« "PARTAGER" c'est un mot magique, il veut dire"aider son prochain", "aimer son prochain", "ne pas être égoïste avec son prochain".
Répondre"PARTAGER" c'est voir un sourire, des yeux qui brillent quand tu tends la main.
Aujourd'hui, je vais garder des enfants à l'école où je travaille, des enfants de soignants. Je vais passer une journée avec eux. Je remplace ma directrice qui est dans l'angoisse (son papa hospitalisé).
Belle journée à vous »
thérèse - 02 avril 2020 - 6:45
« " La boule de manioc n'est jamais trop petite pour être partagée " dit un proverbe Vuté , peuple du Cameroun.
RépondreOui même petite il faut beaucoup de travail et d'efforts pour que la manioc devienne comestible. Dans le manioc il y a du poison qui peut être néfaste pour la santé de l'homme . La préparation du manioc est un travail spécifique et délicat fait souvent par les femmes du village . Manioc doux ou amer , avec peu ou beaucoup d'acide cyanhydrique il est trempé en deux ou trois tronçons après avoir été pelé puis râpé ou coupé en morceaux . Après l'avoir pelé il est important de bien laver le manioc . En Guyane le manioc est transformé en semoule de manioc ou couac, à l'île Maurice en biscuits, en Guadeloupe en Kassav, galette à base de farine de manioc .
Tout comme le manioc l'eucharistie a besoin d'une préparation spécifique, de l'eau et de la farine fabriqué le plus souvent par des religieuses puis offerts après une bénédiction par le prêtre en pain de vie , le Corps du Christ .
Quel mystère ! le corps du Christ dans une pastille sèche au goût fade !
Mon esprit rebelle et compliqué voudrait bien comprendre mais c'est impossible! C'est le lieu de la Foi , le lieu où Dieu invisible se manifeste sous une forme visible .Oui vraiment ma Foi est faible, comment cela peut-il se faire le mystère du don de Vie!
Oh Seigneur donne moi le don de dévotion!
Heureusement Françoise et Frédérique me rassurent, pour faire mémoire du Christ il nous reste son Evangile
Merci à Tous »
IDA - 02 avril 2020 - 3:26